Daily Zohar 4516
173. וְהַדְּבָרִים הַלָּלוּ בֵּאֵר אוֹתָם אָבִי, וַהֲרֵי נִתְבָּאֲרוּ. וַאֲנִי כְּשֶׁמַּגִּיעַ לַדְּבָרִים הַלָּלוּ, אוֹמֵר אוֹתָם, מִשּׁוּם שֶׁצַּוָּאַת אָבִי כָּךְ. וְכָךְ צָרִיךְ אָדָם לְהִזָּהֵר בַּשֵּׁם הַקָּדוֹשׁ, שֶׁיִּכְתֹּב אֶת הַשֵּׁם הַקָּדוֹשׁ כְּמוֹ זֶה, וְזֶהוּ כָּרָאוּי. וְאִם לֹא, אֵינוֹ נִקְרָא שֵׁם קָדוֹשׁ, וְנִקְרָא פָּגוּם. וּמִי שֶׁפּוֹגֵם אֶת הַשֵּׁם הַקָּדוֹשׁ, טוֹב לוֹ שֶׁלֹּא נִבְרָא.
Commentaire de Zion Nefesh:
Traduction par Philippe LombardZohar Vayikra
Suite du ZQ 4515
#172
Par la suite, la foi, qui est Binah, s’est étendue, et deux enfants, faisant partie d’un tout, ont émergé et se sont séparés dans leurs voies. Le fils, Zeir Anpin, vient à la fois d’Israël Saba et de Tevuna, et il est le Vav du Saint Nom YHVH. La fille, Malkhout, vient du côté de la mère, c’est-à-dire de Tevuna, et elle est le Heh final du Saint Nom de YHVH. Elle ne peut être complète avec le Vav que parce qu’elle est nourrie et reçoit son abondance de lui. Par conséquent, il est nécessaire d’écrire le ה Heh d’abord avec Vav, puis Heh. De cette manière, le Heh, Zeir Anpin et Malkhout sont inclus dans Malkhout. Le Vav s’étend pour compléter la forme du Heh, semblable à cette rivière – Tevuna – venant du Yod, qui est Israël Saba, comme expliqué dans la forme du premier Heh de YHVH plus tôt. Car c’est du Yod que se nourrit le Heh, qui est Binah ; de même, dans le dernier Heh, il faut d’abord écrire Vav, puis en tirer la forme du Heh, car ce Heh se nourrit du Vav, qui est Zeir Anpin au sein de Malkhout.
#173
Mon père m’a expliqué ces questions. Lorsque je les aborde, je suis les mots que j’ai hérités de mon père. C’est pourquoi, une personne doit faire attention au Saint Nom et l’écrire correctement de cette manière. Et s’il n’est pas écrit de cette manière, il n’est pas appelé un Saint Nom, mais un Nom imparfait. Il eut mieux valu pour celui qui aurait écrit le Saint Nom avec des défauts, qu’il ne fusse pas né.