103. וְנִגְּשָׁה יְבִמְתּוֹ אֵלָיו לְעֵינֵי הַזְּקֵנִים וְחָלְצָה נַעֲלוֹ מֵעַל רַגְלוֹ וְגוֹ’. מִצְוָה זוֹ לַחֲלֹץ, וְזוֹהִי חֲלִיצַת רוּחַ מֵאוֹתוֹ גּוּף, שֶׁצָּרִיךְ לִנְהֹג עִמּוֹ כְּאָח, וְאוֹתוֹ קֶשֶׁר הָאַחֲוָה שֶׁעִם אָחִיו מַתִּיר מִמֶּנּוּ, וְאוֹתָהּ רוּחַ הוֹלֶכֶת נָע וָנָד עַד שֶׁמּוֹצֵאת גּוֹאֵל. זֶהוּ שֶׁכָּתוּב (ויקרא כה) אוֹ דֹדוֹ אוֹ בֶן דֹּדוֹ יִגְאָלֶנּוּ אוֹ מִשְּׁאֵר בְּשָׂרוֹ וְגוֹ’. וְאִם לֹא מָצָא – וְהִשִּׂיגָה יָדוֹ וְנִגְאָל. כְּאוֹרֵחַ שֶׁהוֹלֵךְ מִמָּקוֹם לְמָקוֹם, אוֹ כְּעֶבֶד שֶׁהוֹלֵךְ בְּשַׁלְשֶׁלֶת עַל צַוָּארוֹ עַד שֶׁמּוֹצֵא פִדְיוֹן מֵאֲדוֹנוֹ עַל חֶטְאוֹ. אוֹי לְמִי שֶׁלֹּא הִנִּיחַ בֵּן לִגְאֹל אוֹתוֹ.
Commentaire de Zion Nefesh:
Traduction par Philippe LombardZohar Ki Tetze
#102
La relation entre la Shékinah et le Saint, Béni soit-Il, ne change pas.
« Moi », « אני » dans le verset (Malachie 3:6) « Car Moi, YHVH, Je ne change pas », est Malkhout qui est le réceptacle « אדני » ADNY, pour la Shékinah.
Le pilier Central avec les six Sephirot de Zeir Anpin est le réceptacle/corps pour YHVH.
#103
Deutéronome 25:9
« וְנִגְּשָׁה יְבִמְתּוֹ אֵלָיו לְעֵינֵי הַזְּקֵנִים וְחָלְצָה נַעֲלוֹ מֵעַל רַגְלוֹ וְיָרְקָה בְּפָנָיו וְעָנְתָה וְאָמְרָה כָּכָה יֵעָשֶׂה לָאִישׁ אֲשֶׁר לֹא יִבְנֶה אֶת בֵּית אָחִיו »
« Alors sa belle sœur s’approchera de lui en présence des anciens et lui enlèvera sa sandale et lui crachera au visage et déclarera: «C’est ainsi qu’il est fait à l’homme qui ne renforce pas la maison de son frère.» »
L’âme du frère défunt se rapproche du frère vivant, et attend qu’il prenne sa femme en mariage en vertu du Lévirat.
L’âme n’est pas au repos tant que le frère vivant ne s’accouple pas avec la femme ou qu’il lui demande de le libérer.
Le protocole est décrit dans le verset ci-dessus.
Cracher sur le frère est l’aspect de l’humiliation du frère pour ne pas remplir le précepte de continuité pour l’âme de son frère.
Lorsque la femme retire la sandale de son beau-frère, ce qui représente la connexion à Malkhout, l’âme de son défunt de mari est libérée de son frère.
L’âme continuera d’errer jusqu’à sa rédemption apportée par un autre frère, un parent ou une réincarnation.